Le 24 janvier dernier, le juge des référés du Conseil d’Etat a suspendu à titre provisoire l’arrêté ministériel du 31 décembre 2021 interdisant la vente aux consommateurs de fleurs ou feuilles brutes de CBD.
Avec 22 autres députés, Stéphane Claireaux a cosigné ce 3 février, le courrier de son collègue Damien Adam adressé au Ministre des Solidarités et de la Santé, afin de demander à Olivier Véran, la suppression de l’arrêté du 31 décembre dernier.
- Le courrier :
VERAN.CBD
Si la réglementation sur la vente de fleurs de CBD dans l’Hexagone reste floue et complexe, son interprétation locale a été plus catégorique, puisque la vente ou l’importation par des particuliers a toujours été sanctionnée par une saisie des douanes, voire une audition par la gendarmerie. Saisi par des concitoyens souhaitant bénéficier des propriétés de bien-être liées à la consommation de CBD, le député a pourtant déjà interrogé officiellement depuis 2019 à plusieurs reprises les autorités locales, sans obtenir de réponse claire et tranchée, tant le flou persiste au niveau national sur cette question.
Hacala
11 février 2022 à 11 h 44 min
Les médicament vendus en pharmacie, sont certainement plus nocifs … J’ai pu constaté ,les effets secondaires ,sur mon mari et sur moi …
Je ne sais pas ce que vaut ce produit ,mais ,si, il soulage ceux qui l’ont utilisé pourquoi pas le réglementé ,et l’autorisé ?
Il ne faut pas connaître la SOUFFRANCE pour mettre de telles barrières ,ou être maso …